Régulation émotionnelle

Objectif : Enlever des peurs et angoisses.

Mais aussi, flemme, rejet, toc, colères.

On les ressent physiquement et cela nous handicape. L’effort mental est énorme pour les contrôler.
Des traumatismes qui t’habitent depuis des années peuvent partir en 1 séance à 3 séances en général. Et oui. Rien de magique, il faut simplement changer les informations que ton cerveau reptilien a stocké au fil du temps, au fil des chocs.

Nous modifions ensemble un souvenir pénible voir insupportable et le rendons supportable. Ainsi, son souvenir n’a plus d’impact sur votre vie actuelle et sur les situations qui y ressemblent.

Et en moins de 30 minutes les effets se font sentir et l’impact est directement là dès les jours suivants.

Fonctionne à distance en visio.

J’ai déjà travaillé avec succès sur :
– peur incontrôlée en voiture
– peur des araignées, des limaces, serpents…
– impossibilité de sortir seul de chez soi
– impossibilité d’avoir une relation sexuelle suite à un choc émotionnel
– impossible de regarder quelqu’un dans les yeux
– impossible d’oser quelque chose de nouveau
– impossibilité d’être touché physiquement
– blocage pour les examens et entretiens
– impossibilité de s’engager durablement dans un boulot et dans la vie
– impossible de supporter un ex pervers narcissique; boule dans le ventre
– impossible d’être calme dans des examens, permis…
– impossibilité de faire une prise de sang
– impossibilité d’être en présence du sang
– alcoolisme
– peur de l’avion
– colère

Séance 1h30 environ:

  • Discussion la moitié de la séance pour cerner ta demande.
  • Action en fonction de ce qui te parle.
  • Discussion de fin de séance.

Paiement :

90 €

Quelles sont les disponibilité ?

Lundi
Mercredi
Jeudi
Vendredi
Samedi

9h – 17h
9h – 17h
9h – 17h
9h – 20h
9h – 20h

Un lieu harmonieux, un accompagnement harmonieux:

Témoignage

Régulation émotionnelle 26/02/2024

Quand j’ai pris rendez-vous avec Alexandre pour une régulation émotionnelle, je n’avais aucune idée de ce que c’était vraiment. J’en avais entendu parler, vaguement, sans pour autant réussir à saisir cette pratique, au nom pourtant parlant. Mais j’avais cette intime conviction que c’était ce dont j’avais besoin à ce moment-là.

Je suis arrivée au rendez-vous avec une émotion tellement forte qu’elle était littéralement en train de m’enflammer de l’intérieur, à tel point que ça pouvait se lire sur mon corps et sur mon visage. J’ai nommé : la colère.

On a commencé par parler. Il m’a posé des questions, m’a fait poser des mots sur ce que je vivais dans l’instant, ce que j’avais pu vivre dans le passé et dans mon système familial. Il m’a demandé mon objectif. J’ai répondu “l’apaisement”

La discussion prend un certain tournant. C’est très pertinent. Chacune de ses questions, chacun de ses mots, ont l’effet d’une bombe à l’intérieur de moi. Mettre de la lumière sur des choses cachées depuis toujours, c’est remuant.

Puis il m’a invité à faire la chose la plus difficile au monde pour moi : ressentir.

M’asseoir, face à moi-même. Ne pas bouger. Ressentir. Respirer. Aller dans le corps. L’émotion. La sensation.

Ressentir, encore et en corps.

Ça faisait plusieurs mois que j’avais cette impression d’être devenue insensible. J’avais tout faux. En fait, je ressens les choses tellement intensément qu’à un moment donné je me suis comme coupée de mes émotions pour ne plus avoir mal. Depuis des jours, des mois j’étais juste tétanisée à l’idée de plonger dans mes émotions par peur de la douleur. Et surtout trop peur de faire face à cette colère que je n’ai jamais voulu reconnaître.

Alexandre m’a accompagné dans cette rencontre. J’ai d’abord résisté. Des mécanismes de protection se sont mis en place. Il ne m’a pas laissé faire. J’ai fini par y aller. J’ai plongé. J’ai senti. J’ai ressenti.

Et rien que le fait de m’être assise dans l’émotion m’a fait prendre conscience de tout un tas de mécanismes et de schémas qui se jouaient en moi depuis des années. J’ai compris que la colère n’était pas le vrai problème, mais tout ce qui se cachait derrière : la peur du conflit, de la dispute, de hausser le ton, de déranger, de poser mes limites, de ne pas être aimable et aimé, ou même d’être rejeté. J’ai la sensation que toutes ces peurs sont parties. Même si ce sont des moments désagréables à vivre, je sens que je n’en ai plus peur.

Cependant, la régulation émotionnelle n’a pas fait en sorte que je ne vive plus jamais la colère. Elle a fait en sorte que je puisse écouter ce qu’elle avait à me dire. Qu’elle est une amie, comme toutes les autres émotions que l’on peut vivre en tant qu’humain, car elle nous invite à nous réajuster et à faire bouger les choses. La régulation émotionnelle m’a aidé à sentir qu’en fait, même si je suis en colère, ça ne fait pas de moi une mauvaise personne. Et que je peux m’aimer totalement, même quand elle est là.

Une séance et je sais que beaucoup de choses vont changer.

C’est inconfortable, certes, mais le cadeau que l’on reçoit après avoir traversé ça est inestimable.

Objectif atteint.

Je respire à nouveau. Je ressens calmement. J’écoute. J’observe.
Je suis apaisée.
Je me sens bien.
Je me sens mieux.

Merci

Laisser un commentaire